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Les maladies cardiométaboliques : l’épidémie invisible

Selon l'IHU ICAN, les maladies cardiométaboliques sont la première cause de décès dans le monde. Elles représentent la majorité des maladies non transmissibles (MNT) qui constituent une préoccupation majeure de santé publique mondiale, responsables de 74% des décès.

Les maladies cardiovasculaires sont à elles seules responsables d’1 décès sur 3 dans le monde, et une personne sur 6 souffre d’hypertension artérielle. Le diabète connaît également une forte expansion, avec une augmentation de 46% prévue entre 2021 et 2045. D’autres maladies cardiométaboliques accélèrent silencieusement leur progression, comme la stéato-hépatite non alcoolique (NASH) dont la prévalence devrait augmenter de 63% d’ici 2030.

Les maladies cardiométaboliques ont donc aujourd’hui un impact dévastateur sur la santé publique et l'économie. Leur prévention doit être une priorité absolue à l’échelle mondiale.

Les maladies cardiométaboliques liées à la résistance à l'insuline

Le risque neurologique 

- Maladie d'Alzheimer 

- Apnée du sommeil 

- Troubles du neurodéveloppement 

Le risque endocrinien 

- Obésité 

- Diabète de type 2 

- Lipotoxicité 

- Intolérance au glucose 

Le risque gynécologique 

- Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)  

- Menstruations anormales 

- Infertilité 

Le risque cardiovasculaire 

- Hypertension artérielle 

- Athérosclérose 

- Cardiomyopathie 

- Dyslipidémie 

Le risque de cancers

- Cancer du sein 

- Cancer de la prostate 

- Cancer du colon 

- Cancer de l’œsophage 

- Cancer du pancréas 

- Cancer du rein 

Le risque rénal 

- Maladie rénale chronique 

- Hyperfiltration 

Le risque hépatique 

- Stéatohépatite métabolique (MASH/NASH) 

- Cirrhose 

La résistance à l’insuline : un facteur de risque majeur des maladies cardiométaboliques.

Les maladies cardiométaboliques ont en commun un facteur de risque : la résistance à l’insuline (RI). ​Touchant jusqu’à 46% de la population mondiale, elle est induite par la sédentarité, l’obésité, l’alcool, le tabac, l’hérédité ou encore l’infection au VIH et les Traitements AntiRétroviraux (TARV). ​ 

La résistance à l’insuline entraîne une cascade de dysfonctionnements métaboliques qui peuvent aboutir à différentes maladies cardiométaboliques. 

La résistance à l’insuline est réversible et détectable précocement 

La résistance à l’insuline n’est pas une fatalité. Au contraire, son dépistage permet de connaître son risque et d’agir pour améliorer sa santé métabolique. Si elle est détectée précocement, il existe une période de 10 à 15 ans durant laquelle les personnes concernées peuvent retrouver leur sensibilité à l’insuline. Pour cela, il est nécessaire de mettre en place des interventions non médicamenteuses incluant des adaptations du mode de vie telles de l’activité physique et une alimentation équilibrée. En adoptant ces approches, il est possible de réverser sa résistance à l’insuline pour retarder voire éviter l’apparition de maladies cardiométaboliques.

Le test IDIR® intégré au programme PREDIA permet de dépister et de quantifier précocement la résistance à l’insuline (RI). Le programme PREDIA identifie ainsi les individus à risque 10 à 15 ans avant l’apparition des maladies cardiométaboliques et propose de les accompagner à prendre en charge leur santé métabolique. 

*Sources scientifiques et médicales disponibles en annexes ici

Pourquoi dépister la résistance à l’insuline ?  

  • Facteur de risque commun aux maladies cardiométaboliques, 1ère cause de mortalité mondiale

  • Touche jusqu’à 46% de la population

  • Détectable 10 à 15 ans l’apparition des maladies cardiométaboliques

  • Réversible par des interventions non médicamenteuses (activité physique et alimentation équilibrée) 

Vous pensez être résistant(e) à l'insuline ?  

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